MOËT & CHANDON GRAND VINTAGE 2012
Moët & Chandon présente son nouveau millésime, interprétation libre et personnelle de l’année 2012 par le Chef de cave Benoît Gouez. Ce millésime est le 74ème depuis 1842, date du premier millésime officiel de la Maison fondée en 1743.
Benoit Gouez, Chef de caves Moët & Chandon, à propos du Grand Vintage 2012 :
« Ce vin évoque la transition du printemps à l’été. Il offre une certaine douceur, accompagnée de fraîcheur et de sérénité pour le blanc, et de délicatesse et nuances coralliennes pour le rosé. »
Chaque Grand Vintage est original et unique et révèle le caractère exceptionnel des années singulières. Que ce soit en Blanc ou en Rosé le Grand Vintage 2012 est l’incarnation parfaite de l’esprit qui anime les Grands Vintages par Moët & Chandon et qui repose sur trois valeurs essentielles : liberté d’interprétation, sélection des vins les plus remarquables de l’année et individualité du millésime, pour des champagnes qui se distinguent par leur maturité, leur complexité et leur charisme.
Moët & Chandon Grand Vintage 2012 représente l’excellence d’un savoir-faire œnologique qui a fait la renommée de la célèbre Maison.
L’année climatique et la récolte
2012 est une année viticole jamais vue. Que d’épreuves pour un résultat si prometteur ! La nature a sorti en 2012 sa panoplie (presque) complète des catastrophes météorologiques pouvant s’abattre sur le vignoble. Gel d’hiver, gel de printemps précoce puis tardif, pluies diluviennes, orages de grêle, coup de froid pendant la floraison, et pour finir échaudage et stress hydrique en août ont mis vignes et vignerons à rude épreuve. Mais par un retournement de situation dont seule la Champagne a le secret, on osait un mois plus tard faire référence aux plus grands millésimes !
Le salut viendra du mois d’août. Un climat chaud et sec, combiné à un faible rendement (9.000 kg/ha, 40% inférieur à la moyenne décennale), stoppe la pression sanitaire et favorise la maturation des baies. Le début de vendange s’étale du 10 au 26 septembre selon les terroirs pour intégrer des décalages de maturité importants. Avec 10,6° d’alcool potentiel et 7.8 g/l d’acidité totale, les raisins de 2012 sont à la fois plus sucrés et plus acides que la moyenne décennale. Cet équilibre est proche de 2002, 1989 ou 1966, autant de millésimes de très grande qualité et qui font preuve d’une grande longévité.